Littérature

Un soir de novembre, Frédéric Riemann, enquêteur à la brigade de Basse-Indre, accueille dans son bureau la jeune recrue Asae Hekson. Dès leur rencontre, les deux collègues reçoivent un appel téléphonique d . . .

Depuis que son oncle a dévoré une partie de l’enfant qu’elle était, Elize tente de construire la part manquante.

Ce long poème raconte comment la vie continue même avec le poison dans le corps, comment . . .

« Deux heures plus tard, aucun de nous deux n’a désserré les dents. Elle s’est endormie, la tête contre la portière. Sur le lecteur de CD, j’ai alterné la Mano, les Stones, Gainsbourg, Dylan, Johnny . . .

Dans ce monde futuriste, les humains ne sont plus que quelques millions sur terre et les bots, depuis les lois d’autonomie, sont privilégiés par la société grâce à un système de point. Parallèlement, pour . . .

Née en 1921, Marie Coïc travaillera dès l’âge de 13 ans dans les « fritures » au Guilvinec. Mauvais départ, c’est l’histoire de sa vie, à travers la mémoire troublée de Liza Kerivel.
Une . . .

Un couple part en voyage dans le Sahel. Un événement brutal vient percuter le rêve exotique. Bousculant les certitudes acquises pour l’une. Contraignant l’autre à l’épreuve d’un confinement dont seul surnage le désir de . . .

De Marie de France à Fanny Raoul qui composa un des premiers essais féministes en 1801, Opinion d’une femme sur les femmes, d’Angèle Vannier à Danièle Collobert, de Fabienne Juhel à Mérédith Le Dez, de Marine . . .

« Ivan n’est pas mort, Ivan n’existe plus. Déjà quand il existait on ne le regardait pas ou l’on s’ennuyait à le regarder. C’est ce qu’on dit. Pourtant Ivan passe encore à la télévision . . .

A-viskoazh eo bet Bro-Dreger ha Bro-Oelo douar barzhed ha marvailherien o tispenn roudoù an Uhel, ar Braz ha kement zo bet d’o heul evel Añjela Duval ha meur a hini all tre betek hiziw. Setu . . .

De tout temps, le Trégor-Goëlo a inspiré les écrivains comme Anatole Le Braz ou Pierre Loti, pour ne citer que les plus connus. La tradition se perpétue et les auteurs d’aujourd’hui n’ont rien . . .