Littérature de Bretagne

« J’ai une grande nouvelle à vous annoncer. Pour la première fois dans l’histoire des écoliers, on supplie les enfants de ne pas aller en classe ! »
C’est par cette phrase, extraite d’une lettre écrite à ses deux grandes . . .

La pluie que tu as oubliée dans ma chambre ouvre une porte sur l’intime. La plupart des textes sont des fulgurances, écrites dans l’urgence d’une angoisse, d’une pensée, d’un besoin de se d . . .

Elle : riche héritière, belle, cultivée, sensible aux arts. S’ouvrant à sa propre féminité.
Lui : milieu très modeste. Embarqué à la pêche. Vit au jour le jour sa condition de simple matelot, sans trop se poser . . .

Quinze nouvelles noires. Quinze brassées de vie ouvrière. Avec des incursions dans l’histoire des anarchistes du vingtième siècle.
Comme dans la première nouvelle « Alfred » où quand on fait le ménage dans un commissariat . . .

Ce livre est une promenade en Bretagne, des années 1950 aux années 2020.
Cette Bretagne porte en elle toutes les rides de toutes les terres, tous les accents de toutes les langues, toutes les lueurs de tous les . . .

Onze nouvelles noires. Onze brassées de vie ouvrière. Un réalisme rêche teintée d’une piquante dérision. Des récits brut de décoffrage. « L’auteur a travaillé une trentaine d’années sur les . . .

L’Île-Grande dans la deuxième partie du xx e siècle. Deux fillettes. Elles grandissent ensemble, connaissent leurs premiers émois, dans la violence pour l’une d’entre elles. Elles vont traverser le siècle, chacune à sa fa . . .

Une île, sans doute en Bretagne sud. Où l’on vit de la pêche. Et où les touristes ne sont pas toujours les bienvenus. Encore moins ceux du continent… Un décès énigmatique en appelle d’autres, échos . . .

Annkrist est chanteuse et poète. Engagée, fidèle aux idées libertaires, ce livre permet de retrouver sa voix et de lui redonner une place dans l’histoire de la chanson française et bretonne.
Nous espérons . . .

« Deux heures plus tard, aucun de nous deux n’a désserré les dents. Elle s’est endormie, la tête contre la portière. Sur le lecteur de CD, j’ai alterné la Mano, les Stones, Gainsbourg, Dylan, Johnny . . .